Les H2 se refont une santé
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Les H2 se refont une santé

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— Photo : Giphy

Comment pérenniser une entreprise, quand son avenir est lié aux performances hebdomadaires de onze salariés en short sur un rectangle de verdure ? C’est l’éternelle équation qui s’impose, chaque saison, aux clubs de foot professionnels, soumis à la glorieuse incertitude du sport. À la veille de la reprise du championnat de France, le 9 août, la conjoncture semble n’avoir jamais été aussi porteuse pour les 20 pensionnaires de Ligue 1, grâce à l’explosion des droits télé prévue en 2020-2024. Mais si les équipes les plus emblématiques parviennent à dégager des revenus conséquents (comme Lyon) ou attirent les investisseurs étrangers (comme Marseille, Bordeaux ou Nantes), les plus modestes tentent de trouver localement les bons ingrédients pour se maintenir à flot et en L1. De Brest à Metz, en passant par Angers et Rennes, leurs dirigeants livrent leurs ingrédients pour faire une bonne saison.

Un chapô doublonné

Comment pérenniser une entreprise, quand son avenir est lié aux performances hebdomadaires de onze salariés en short sur un rectangle de verdure ? C’est l’éternelle équation qui s’impose, chaque saison, aux clubs de foot professionnels, soumis à la glorieuse incertitude du sport. À la veille de la reprise du championnat de France, le 9 août, la conjoncture semble n’avoir jamais été aussi porteuse pour les 20 pensionnaires de Ligue 1, grâce à l’explosion des droits télé prévue en 2020-2024.

Structuration de texte

Mais si les équipes les plus emblématiques parviennent à dégager des revenus conséquents (comme Lyon) ou attirent les investisseurs étrangers (comme Marseille, Bordeaux ou Nantes), les plus modestes tentent de trouver localement les bons ingrédients pour se maintenir à flot et en L1. De Brest à Metz, en passant par Angers et Rennes, leurs dirigeants livrent leurs ingrédients pour faire une bonne saison.

Et même en triple

Comment pérenniser une entreprise, quand son avenir est lié aux performances hebdomadaires de onze salariés en short sur un rectangle de verdure ? C’est l’éternelle équation qui s’impose, chaque saison, aux clubs de foot professionnels, soumis à la glorieuse incertitude du sport. À la veille de la reprise du championnat de France, le 9 août, la conjoncture semble n’avoir jamais été aussi porteuse pour les 20 pensionnaires de Ligue 1, grâce à l’explosion des droits télé prévue en 2020-2024.

Un H3 s'est glissé dans cet article

Mais si les équipes les plus emblématiques parviennent à dégager des revenus conséquents (comme Lyon) ou attirent les investisseurs étrangers (comme Marseille, Bordeaux ou Nantes), les plus modestes tentent de trouver localement les bons ingrédients pour se maintenir à flot et en L1. De Brest à Metz, en passant par Angers et Rennes, leurs dirigeants livrent leurs ingrédients pour faire une bonne saison.